Dans les deux premières rencontres de samedi matin, les scores ont été plus que serrés. La palme du suspense est revenue au match M.F.A.-O.S.M. puisque Monaco Football Association, après avoir mené 2-0 à la mi-temps, s’est fait coiffer sur le poteau 3-2. Romain ARMITA, à la 8ème minute, avait ouvert la marque d’un tir lointain mal négocié par le gardien de l’Omnium Sport de Monaco. Dix minutes plus tard, Benjamin DESSAIGNE transformait un penalty et portait l’écart à deux buts. Dès lors, l’Omnium Sport de Monaco s’attachait à combler son retard. Dès la reprise, Sébastien TRIFILIO, puis Fabian LOTTERO, d’un tir tendu, ramenait le score à 2-2. Malgré un tir sur le poteau du n°6 de M.F.A. Romain CELLARIO, c’est au contraire Sébastien TRIFILIO qui donnait la victoire aux maillots noirs de l’O.S.M. (3-2), trois minutes avant le coup de sifflet final.
Le match entre l’Université Internationale de Monaco et Julius BAER s’est décanté en deuxième mi-temps. Dès la 3ème minute, Nicolas FLORIO avait trouvé le chemin des filets pour Julius BAER. La mise aurait pu être doublée sans un sauvetage sur sa ligne de but du capitaine Léo GELAS. Mais à la 20ème minute, Samuel VERDIER égalisait pour l’I.U.M. (1-1). Après la pause, Rudy SAGHIR trouvait la faille mais le capitaine Jérôme HERRERA lui répondait immédiatement. C’est même Julius BAER qui prenait l’avantage à la 32ème minute, toujours par Jérôme HERRERA. A la 35ème minute, Johan ASSENZA remettait les deux équipes à égalité d’une belle tête sur un centre venu de la droite. Puis son coéquipier Bryan MATCHAVARIANI donnait la victoire à l’I.U.M. cinq minutes avant la fin, l’I.U.M qui n’aura pas été déstabilisée par la blessure au coude du jeune Christian ESNAUX.
Candy Street a bien géré sa rencontre face à l’I.A.A.F. puisque dès la 3ème minute Jérémy COTTON posait les jalons de la victoire, suivi par son coéquipier Arnaud SBARRATO (2-0 à la pause). Le score était même porté à 3-0, jusqu’à ce que l’I.A.A.F, en la personne de Sébastien BOFFA, ne se réveille en scorant trois fois en quatre minutes (triplé pour le numéro 9). Sauf qu’entretemps, Candy Street avait limité les dégâts (4-3), et que Jérémy COTTON, toujours inspiré, faisait encore trembler les filets avant le coup de sifflet final (5-3).