Ronald Limon est délégué de match pour le Challenge Rainier III. Il nous explique son rôle et le fonctionnement de l'arbitrage.
J'ai un rôle très similaire à celui d'un délégué habituel. Je veille à ce que le fair-play soit de mise sur le bord du terrain. Je suis le représentant de l'organisation du Challenge.
Je dois m'occuper des statistiques sur la feuille de match : les buteurs, les cartons… Le but : tenir à jour les classements et récompenser ceux qui le méritent en fin de saison. Ensuite, je revois l'arbitre en fin de match pour faire le point sur la partie. Pour savoir si des joueurs sont à signaler par leurs mauvais comportements.
Avec le fair play, pas de cadeau. Nos arbitres peuvent donner suite à ce qu'ils jugent antisportif. En tant que délégué, je peux l'épauler dans cette tâche. Ils ont assez d'expérience pour calmer les joueurs et tenir les matchs. Mais l'ambiance est quasiment toujours excellente.
Ils viennent du District de la Côte d’Azur. On a la chance d'avoir des arbitres expérimentés qui connaissent la DH, la PH. Certains sont mêm assistants en CFA.
On cherche vraiment des officiels qui ont de la bouteille. Il nous faut des pédagogues plus que des juges sur le terrain. Je pense que les jeunes arbitres ne sauraient pas tous le faire.
Pour la première année, il y a deux poules en coupe de la ville de Monaco, comprenant chacune huit équipes. Avec des phases finales en fin de championnat, pour savoir qui monte dans le challenge du Prince Rainier III. En ce qui concerne la coupe de foot à 7, seulement six équipes sont pour l'instant engagées. Pour la plupart, des équipes à 11 qui s'adaptent.
Ronald Limon est délégué de match pour le Challenge Rainier III. Il nous explique son rôle et le fonctionnement de l'arbitrage.
En quoi consiste votre rôle de délégué de match ?
J'ai un rôle très similaire à celui d'un délégué habituel. Je veille à ce que le fair-play soit de mise sur le bord du terrain. Je suis le représentant de l'organisation du Challenge.
Quelles sont les différences avec un délégué classique ?
Je dois m'occuper des statistiques sur la feuille de match : les buteurs, les cartons… Le but : tenir à jour les classements et récompenser ceux qui le méritent en fin de saison. Ensuite, je revois l'arbitre en fin de match pour faire le point sur la partie. Pour savoir si des joueurs sont à signaler par leurs mauvais comportements.
Les arbitres ont-ils des directives de sévérité ?
Avec le fair play, pas de cadeau. Nos arbitres peuvent donner suite à ce qu'ils jugent antisportif. En tant que délégué, je peux l'épauler dans cette tâche. Ils ont assez d'expérience pour calmer les joueurs et tenir les matchs. Mais l'ambiance est quasiment toujours excellente.
« Des pédagogues plus que des juges »
D'où proviennent ces arbitres ?
Ils viennent du District de la Côte d’Azur. On a la chance d'avoir des arbitres expérimentés qui connaissent la DH, la PH. Certains sont mêm assistants en CFA.
Pensez-vous, à long terme, former vous-mêmes des arbitres ?
On cherche vraiment des officiels qui ont de la bouteille. Il nous faut des pédagogues plus que des juges sur le terrain. Je pense que les jeunes arbitres ne sauraient pas tous le faire.
Votre vision des compétitions de la saison ?
Pour la première année, il y a deux poules en coupe de la ville de Monaco, comprenant chacune huit équipes. Avec des phases finales en fin de championnat, pour savoir qui monte dans le challenge du Prince Rainier III. En ce qui concerne la coupe de foot à 7, seulement six équipes sont pour l'instant engagées. Pour la plupart, des équipes à 11 qui s'adaptent.
Ronald Limon est délégué de match pour le Challenge Rainier III. Il nous explique son rôle et le fonctionnement de l'arbitrage.
En quoi consiste votre rôle de délégué de match ?
J'ai un rôle très similaire à celui d'un délégué habituel. Je veille à ce que le fair-play soit de mise sur le bord du terrain. Je suis le représentant de l'organisation du Challenge.
Quelles sont les différences avec un délégué classique ?
Je dois m'occuper des statistiques sur la feuille de match : les buteurs, les cartons… Le but : tenir à jour les classements et récompenser ceux qui le méritent en fin de saison. Ensuite, je revois l'arbitre en fin de match pour faire le point sur la partie. Pour savoir si des joueurs sont à signaler par leurs mauvais comportements.
Les arbitres ont-ils des directives de sévérité ?
Avec le fair play, pas de cadeau. Nos arbitres peuvent donner suite à ce qu'ils jugent antisportif. En tant que délégué, je peux l'épauler dans cette tâche. Ils ont assez d'expérience pour calmer les joueurs et tenir les matchs. Mais l'ambiance est quasiment toujours excellente.
« Des pédagogues plus que des juges »
D'où proviennent ces arbitres ?
Ils viennent du District de la Côte d’Azur. On a la chance d'avoir des arbitres expérimentés qui connaissent la DH, la PH. Certains sont mêm assistants en CFA.
Pensez-vous, à long terme, former vous-mêmes des arbitres ?
On cherche vraiment des officiels qui ont de la bouteille. Il nous faut des pédagogues plus que des juges sur le terrain. Je pense que les jeunes arbitres ne sauraient pas tous le faire.
Votre vision des compétitions de la saison ?
Pour la première année, il y a deux poules en coupe de la ville de Monaco, comprenant chacune huit équipes. Avec des phases finales en fin de championnat, pour savoir qui monte dans le challenge du Prince Rainier III. En ce qui concerne la coupe de foot à 7, seulement six équipes sont pour l'instant engagées. Pour la plupart, des équipes à 11 qui s'adaptent.
Ronald Limon est délégué de match pour le Challenge Rainier III. Il nous explique son rôle et le fonctionnement de l'arbitrage.
En quoi consiste votre rôle de délégué de match ?
J'ai un rôle très similaire à celui d'un délégué habituel. Je veille à ce que le fair-play soit de mise sur le bord du terrain. Je suis le représentant de l'organisation du Challenge.
Quelles sont les différences avec un délégué classique ?
Je dois m'occuper des statistiques sur la feuille de match : les buteurs, les cartons… Le but : tenir à jour les classements et récompenser ceux qui le méritent en fin de saison. Ensuite, je revois l'arbitre en fin de match pour faire le point sur la partie. Pour savoir si des joueurs sont à signaler par leurs mauvais comportements.
Les arbitres ont-ils des directives de sévérité ?
Avec le fair play, pas de cadeau. Nos arbitres peuvent donner suite à ce qu'ils jugent antisportif. En tant que délégué, je peux l'épauler dans cette tâche. Ils ont assez d'expérience pour calmer les joueurs et tenir les matchs. Mais l'ambiance est quasiment toujours excellente.
« Des pédagogues plus que des juges »
D'où proviennent ces arbitres ?
Ils viennent du District de la Côte d’Azur. On a la chance d'avoir des arbitres expérimentés qui connaissent la DH, la PH. Certains sont mêm assistants en CFA.
Pensez-vous, à long terme, former vous-mêmes des arbitres ?
On cherche vraiment des officiels qui ont de la bouteille. Il nous faut des pédagogues plus que des juges sur le terrain. Je pense que les jeunes arbitres ne sauraient pas tous le faire.
Votre vision des compétitions de la saison ?
Pour la première année, il y a deux poules en coupe de la ville de Monaco, comprenant chacune huit équipes. Avec des phases finales en fin de championnat, pour savoir qui monte dans le challenge du Prince Rainier III. En ce qui concerne la coupe de foot à 7, seulement six équipes sont pour l'instant engagées. Pour la plupart, des équipes à 11 qui s'adaptent.