Cédric Prosper, attaquant, revient sur la saison de son équipe, le Monte-Carlo Bay. Il expose aussi le regard positif qu'il porte sur le Challenge Rainier.
Monte-Carlo Bay à accroché l'Hôtel Métropole (3-3). Etes-vous satisfait de votre dernier match ?
La rencontre s'est bien passée : notre prestation s'est révélée très correcte. Mais l’équipe a beaucoup de regrets : on mène toujours au score (2-0 puis 3-1). Nous avons deux belles occasions qu'on ne concrétise pas en fin de match. L'objectif du début de saison, terminer premier, s’éloigne.
Décrivez-nous l’équipe du Monte-Carlo Bay ?
On est tous employés à l'hôtel Monte-Carlo Bay. Les joueurs ont d'une trentaine d'années. L’équipe a un niveau stable depuis le début de saison. La formation n'est jamais la même puisque on a des horaires de travail très différents.
D’après vous, comment le Challenge Rainier pourrait être amélioré ?
On rêve d'un Moneghetti plus grand. Le Challenge Rainier devrait peut-être supprimer les hors-jeu car sans arbitre de touche, c'est assez aléatoire. Personnellement, je trouve que la durée des matchs est un peu trop courte : passer de quarante à cinquante minutes serait une bonne chose.
Que pensez-vous du Challenge Rainier ?
Il me plaît et l'organisation est bonne. Je peux jouer au football sans pression et sans être obligé de venir à l’entraînement trois fois par semaine. C'est impossible avec mon travail. L'ambiance est excellente. Pendant les matchs, on oublie la hiérarchie : nous sommes détendus.
E. J.