Samedi au stade des Moneghetti, les joueurs de la Banque Richelieu ont été dominés en deuxième mi-temps par les Barbagiuans Monaco, en particulier dans les toutes dernières minutes. En effet, les deux équipes étaient à égalité à la pause, à la suite de l’ouverture du score par les joueurs de Serge DUBOURDEAUX en la personne de Cédric GOIRAN, immédiatement rejoints par Stéphane RAVELOARIJAONA (15ème minute, 1-1). Ce dernier doublait la mise quatre minutes plus tard, mais là c’est Cédric GOIRAN qui égalisait juste avant la mi-temps (2-2). En début de deuxième période, les Barbagiuans bénéficiaient d’un penalty transformé par Cédric GOIRAN mais c’est encore RAVELOARIJAONA qui revenait à hauteur (3-3). Cédric GOIRAN entamait alors la concrétisation de la domination des Barbagiuans en scorant à la 38ème minute, puis surtout deux fois de plus quelques minutes avant le coup de sifflet final : 6-3. En conclusion, on notera que Stéphane RAVELOARIJAONA et Cédric GOIRAN furent chacun l’unique buteur de leur équipe, l’un avec un triplé et l’autre avec un sextuplé, les deux portant le même numéro 10 !
Contrairement à la plupart des rencontres, le résultat du match opposant les Etablissements RIBERI à l’OSM RG 1952 s’est décidé en première période, le score restant figé jusqu’à la fin. C’est Charles DE ALMEIDA qui qui ouvrait la marque au quart d’heure de jeu, et qui scorait à nouveau cinq minutes avant la pause pour les Etablissements RIBERI (2-0). En deuxième période, les efforts de l’OSM incarnés par Fabien LOLI et Lucas MAGNANI ne suffiront pas à faire trembler les filets adverses. Au contraire, James WEBB, Kevin DEMELAS et DE ALMEIDA auraient pu aggraver la marque sans les bonnes interventions du gardien de l’OSM, Laurent PORCEDDU MASSIERA. Le score restait inchangé : 2-0. On peut noter que le faible écart au score ne reflète pas la différence au classement entre les deux équipes, les Etablissements RIBERI étant deuxièmes en embuscade avec un match en moins sur le premier M.O.I., alors que l’OSM RG 1952 a du mal à se sortir du dernier quart du classement, qui semble-t-il ne reflète pas vraiment son niveau.