Marc Vanmoen est à la fois dirigeant, entraîneur et joueur au sein de l’équipe Experian Scorex. Il nous présente son équipe, inscrite au Challenge Rainier III pour la sixième saison.

Marc, pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?
Elle intervient dans le scoring. Nous avons créé des logiciels, qui sont utilisés par les banques, pour étudier le profil des personnes qui demandent un crédit. Ces logiciels attribuent des points aux demandeurs. Ainsi, la banque peut voir si elle accorde ou non un crédit. Nous avons 120 salariés à Monaco. L’entreprise est implantée dans 50 pays, sur tous les continents.

Comment est venue l’idée de participer au Challenge Rainier III ?
Je suis dans cette entreprise depuis treize ans et j’ai toujours suivi ce challenge. Nous étions deux ou trois à émettre l’idée. Les joueurs sont tous des supporters de différentes équipes. Il n’y a pas que des supporters de Monaco et nous avons des débats très animés au sujet du foot (rires).

Votre équipe ?
Ce sont des anciens joueurs, très motivés. Nous sommes inscrits depuis six ans. Avant, nous n’avions pas assez d’unités pour déposer un dossier. Cette année, nous avons 28 inscrits. C’est une belle moyenne sur 120 personnes. Cette entreprise est composée en grande partie d’hommes et ça aide pour monter une équipe de foot. J’ai une ossature de 16-18 joueurs. Les autres sont à l’entrainement mais jouent rarement. En majorité, ils ont fait du foot étant petit. Les âges vont de 23 à 40 ans. Ce qui est assez jeunes. Nous avons cinq Italiens et un Anglais. Pour la première fois, une femme s’entraine avec nous. Elle est très assidue. Elle n’a pas encore joué car elle ne se sent pas prête. Mais elle est inscrite et peut donc jouer un match.

Et les entrainements ?
Nous avons une séance par semaine. Il a fallu négocier avec Cap-d’Ail pour avoir un terrain le lundi de 12h à 14h. A la fin de chaque entrainement, on organise un match qui dure entre 30 et 45 minutes. C’est difficile d’avoir tout le monde car nous avons de nombreux déplacements à l’étranger. C’est le côté administratif qui pose problème ; pas la motivation des joueurs.

Comment se passe la saison ?
Nous sommes 8e de la poule. C’est paradoxal car nous avons sans doute la meilleure équipe sur le papier depuis 6 ans, mais les plus mauvais résultats. Je n’ai jamais pu aligner mon équipe type. Malgré le fait que presque tous mes joueurs aient déjà joué au foot, je n’ai pas de gardien de formation. Nous avons donc eu le droit à un joueur de dérogation. Malheureusement, ce dernier n’a pu jouer que trois des six matchs disputés. Nous avons également un gros problème en termes de réalisme : beaucoup d’occasions et trop peu de buts marqués.

Quel est l’objectif ?
Terminer dans les huit premiers pour être qualifié en quarts de final. Si la situation reste inchangée, on jouerait contre le premier du groupe : le CFM Monaco. Étonnamment, ça a été le match le plus accroché : 5-4. Tout est possible. Nous nous sommes toujours qualifiés pour les quarts de final, mais une seule fois en demi. C’est peut-être la bonne année.

Une équipe de foot soude t-elle les liens dans l’entreprise ?
Automatiquement ! Après les matchs nous allons boire un coup ensemble. Mais il faut faire attention aux frictions. Certains se transforment sur le terrain. Il peu y avoir quelques accrochages, mais rien de bien grave. La société suit de très près nos résultats.

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